François

François

Archives du blog

Le sac marin fourre-tout

Dimanche 16 Novembre 2014

Chez Marie-Claude et Gérard Manjouy aussi, on fête François !!!




Ya pas à dire : une belle brochette familiale ....



Samedi 15 Novembre 2014


On fête la victoire à La Villageoise chez les Bigoudic 


"Bravo François ! A dans 4 ans !"






Jeudi 13 Novembre 2014

Visiblement, dans l'Poitou, on arrose son anniversaire à la mode de la Route du Rhum ...

Du coup, la Bourgeoisie poitevine écume ... les



Un Damoiseau pour la Damoiselle ...

Plus elle est old et plus elle ...

Fin de soirée d'anniv, entre rhum et rhum arrangé ...


 Et quand les parents boivent,
une fois de plus ...
les enfants trinquent !


A la cambrousse, on boit du Rhum  Charrette forcément !...

Et lui déjà, il n'aime pas les blondes !

Et voilà l'résultat quand on donne des biberons de rhum !
Bravo la Bourgeoisie Poitevine !




Lundi 3 Novembre 2014

Comme Totor et Madame La Baronne, vous aussi, 
partagez avec nous votre façon de suivre la Route du Rhum !




Pendant que le père boit (du rhum of course) ...


... les enfants trinquent ... 
en regardant Gazoline et Captain Tipunch sur  de L'Ecuite 21 !




Vendredi 24 Octobre
Cancale




Un p'tit tour chez l'ami Totor






ELOGE DE LA CONNERIE HUMAINE
ET DU
« D’ABORD, YA MOI, ET SI JE PEUX MARCHER SUR LES AUTRES, 
JE LE FAIS AVEC DES GROSSES GODASSES A CLOUS 
EN POUSSANT LE CRI RAUQUE DE LA JOUISSANCE ULTIME»

St Malo, samedi 25 octobre, 17h.
Dans une heure aura lieu la présentation officielle de tous les skippers de la Route du Rhum. En bons journalistes pros et organisées que nous sommes, Gazoline et moi définissons une stratégie pour être sûres d’avoir les meilleures images possibles à offrir à nos fans du blog.
Notre chambre d’hôtel donnant sur la cour où est installé le podium, nous décidons que Gazoline ira se poster avec un appareil à la fenêtre, bien au chaud dans notre suite royale, avec un verre de rhum à la main, pendant que moi j’irai poireauter debout dans le froid pendant une heure devant la scène.
Bon en même temps je ne peux même pas me plaindre ni la blâmer : c’est moi, comme un culbuto hydrocéphale, qui ai proposé cette solution !
Accessoirement, elle me tiendra informée en direct par sms du déroulement des matches PSG-Bordeaux (3-0 hi hi hi désolée Chonchon !!!) et Real Madrid-Barcelone (3-1 hou hou hou désolée Totor !!!). On ne se refait pas : personne n’est parfait !

Bref, me voici donc, idéalement postée au pied de la scène, plein axe, appuyée sur la barrière de sécurité. Entre la scène et ma barrière de sécurité, il y a un espace de 2m de large. Mais à quoi que c’est qu’y sert-y donc ?
La réponse arrive à 17h50 : c’est la zone réservée aux photographes professionnels. En voici donc une petite dizaine qui l’envahit, et se place donc juste devant tous les abrutis de pellos congelés qui font le pied de grue depuis une heure pour avoir la meilleure place possible et se retrouvent brutalement avec la vue masquée par les journalistes !
Heureusement, ils sont sympas, nous rassurent, et dès que la « cérémonie » débute, s’agenouillent ou s’accroupissent pour prendre leurs photos sans gêner le pékin de base.
Tous ? Evidemment non ! Tel l’irrésistible Gaulois, un seul grand con décide que, non, lui ne s’agenouillera pas. Lui restera debout, en plein centre, parce que lui, avec sa tête de veau, il le vaut bien. Parce que lui, il faut qu’on le voit, et que, de toute façon, les autres, il ne sait même pas ce que c’est !

Et évidemment je vous le donne en mille Emile : le grand con arrogant en question, c’est bien sûr le plus grand de tous les photographes présents ! Et là je ne parle pas de son talent, qui ne tient que dans la longueur des objectifs qu’il exhibe, inversement proportionnelle, c’est bien connu, à la taille d’autre chose … mais de son mètre 90 qui jette une ombre sur 6 rangs derrière sa carrure de déménageur carburant dès 7h du matin à la bonne grosse bière qui pique !
Et puisque nous sommes dans les évidences, forcément, devant qui qu’y s’est planté pile poil l’homme des cavernes ? Ben devant moi pardi bichu ! 1m12 au garrot et une fâcheuse tendance à être légèrement moisie en matière de chance !
Je ne sais pas vous, mais moi, parfois, si j’avais une batte de baseball dans mon sac à main V’Huit Thon, je serais capable de faire du petit bois avec la cacahuète rachitique qui fait office de cervelle à ce genre de types insupportables …

Les grands naïfs et les irréductibles peace and love qui ont encore foi en la nature humaine pourraient légitimement penser que, voyant tous ses collègues prendre la peine de souffrir pendant une heure et demie agenouillés juste pour ne pas gêner les petites gens, le grand con aurait fini par culpabiliser, et s’accroupir lui aussi au bout de quelques temps …
Que nenni !
Quand on est un gros con (et grand en plus), ce genre de sentiment (la culpabilité) ne vous effleure même pas. C’est un peu comme les Normands dans Astérix, qui ignorent la peur : le gros con, lui, ignore la culpabilité !
Quand on est un gros con, on marche sur les autres avec des grosses godasses à clous en poussant le cri rauque de la jouissance ultime ! « Ha ! Ha ! Ha ! Regardez-moi bande de misérables rampants ! I am Ze gros con et je vous emmerde avec l’air satisfait du crétin des Alpes qui vient de se taper une marmotte ! »
A ce sujet je vous renvoie à un article génial du magazine Causette, sur le gros con justement. Excellent !

J’ai donc passé une heure et demie (en plus de l’heure d’attente debout) à me contorsionner, à me tortiller de droite et de gauche comme un gros ver, à tenter d’esquiver les coups de coude dans l’pif, et à prendre des bourrades dans mon objectif, sans que le grand con ne s’excuse une seule fois ni ne se décide à faire preuve d’un peu de civisme mâtiné d’empathie et de gentillesse. Le tout, évidemment, avec l’envie chevillée au corps de passer à l’acte, et de buter le grand con avant de le dépecer (ou l’inverse, c’est finalement plus drôle) puis de le démembrer et enfin, de le jeter à bouffer aux nombreux porcs bretons !

Tout ça pour vous dire quoi ?
Que, un, être petit, c’est chiant.
Que, deux, être un gros con, ça doit être super cool à vivre.
Que, trois, vous pouvez me cirer les pompes pour avoir quand même réussi à faire quelques clichés potables des skippers dans des conditions pareilles (les photos en question seront sur le blog dans quelques jours).
Et que, quatre … FILEZ-MOI UNE BATTE P….. !!!

5 commentaires:

  1. Excellent les photos et les commentaires !! On adore !!!! Merki, je me suis bien marrée à faire les photos en tout cas !!

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  2. Hello,

    Merci pour ce fabuleux Blog...!!! Nadia

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  3. Hello,

    Merci pour ce fabuleux Blog...!!! Bises, Nadia.

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